Voyage en Bolivie (6)

Voyage en Bolivie (5)

Derniers jours dans ce beau pays. Après un passage rapide à La Paz et un retour à Cochabamba, il fallait bien faire un tour dans les montagnes. Donc, nous avons tenté d’escalader le Pic Tunari, à 5023 m d’altitude. Épreuve pour nos coeurs et notre respiration, et bien sûr, pour mon handicap…

– Voyage en Bolivie (FIN) –

VéroNico en Bolivie (20-22 Octobre 2018)

Il est certain qu’après les deux jours passés à Uyuni, il est difficile d’être encore plus impressionné et enthousiaste.
——- Mais… Mais… ENCORE QUELQUES SURPRISES
– Après la journée de vendredi, nous sommes retournés à La Paz, puis à Cochabamba.
Samedi, nous avons passé la journée à La Paz, et nous avons visité le sud de la ville, en bas… là où sont les gens riches.
– J’en profite pour faire la pub du restaurant italien « Chez Fellini » ?, où nous avons excellemment bien mangé.
Dimanche, nous sommes restés à Cochabamba, en famille… pour nous reposer.
—————–
Et ce lundi, une petite folie : escalader le Pic Tunari, à 5023 m d’altitude… ? au-dessus de Cochabamba.
– Nous sommes partis très tôt en 4×4 sur des routes défoncées… et parfois vertigineuses ?. Notre guide est Roberto, le même que celui qui nous a emmenés sur le site Inca Incallajta.
Il y a des lamas et des alpagas…
Autant dire qu’à plus de 4000 m, dans des paysages lunaires et loin de tout, on est contraint de faire confiance au guide.
– On marche doucement : le cœur s’emballe ? et l’essoufflement vient très rapidement. Mais les paysages sont majestueux.
Nous contournons un lac, puis attaquons l’escalade. Un passage au-dessus du vide est dangereux, d’autant plus que la prothèse est à devers, du mauvais côté (petit souci que les amputés connaissent bien !) : Roberto m’aide… Il contrôle nos battements de cœur, notre taux d’oxygénation et les symptômes de l’altitude…
– Tout va bien… et j’ajoute même que nous allions de mieux en mieux au cours de la montée ! Véro aussi ! Me suis découvert des réactions du corps étonnantes !
? Pas vu de dahus…
À 4808 m, au-dessus du vide, je crie : « ça y est, nous dépassons le Mont Blanc » !
– On grimpe encore un peu jusqu’à 4870 m ! mais la météo n’est pas favorable,, il commence à pleuvoir, puis à grésiller… Roberto estime qu’il est dangereux de continuer : pierres glissantes, froid et autres risques.
? FRUSTRATION PERSO : zut, pour mon premier 5000 ! Qui ne se reproduira sans doute jamais ! Et je m’en sentais capable !!!
Nous redescendons par une très belle voie. Il y a plein de fossiles.
– Nous observons des oiseaux qui sont uniques dans cette région.
– Au cours de la descente en voiture ?, Roberto charge deux indiennes Quechua qui faisaient du stop.
– C’est vraiment un mec sympa !

maisons en danger…

 

– FIN VOYAGE –

 

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