1er jour : Dimanche 6 avril 2025 : voyage vers Alméria, via Malaga
Lyon-Barcelone et 4 heures d’attente à Barcelone. Cela nous laisse le temps de mieux connaître Yves amputé fémoral, qui voyage avec nous. Aéroport immense. On mange dedans, puis dehors pour un café.
– Avion ✈️ jusqu’à Malaga. Arrivée 17h30. Dominique G nous rejoint.
– Nous attendons 1h30 avant que la navette vers le loueur de voiture vienne nous chercher.
– Je conduis de Malaga à Alméria. Ford. Voiture difficile à contrôler. Je ne suis pas rassuré sur une autoroute qui tourne tout le temps…
– Arrivée Alméria vers 22h45. Accueil par Julian : très sympa. Magnifique appartement au 8ème étage avec une terrasse sur le toit qui domine la ville (location Airbnb).
2ème jour : Lundi 7 avril 2025 : journée à Alméria
- Desayuno au bord de la mer Méditerranée.
Puis marche le long de la mer et montée vers le Centre Ville.
Visite de la Cathédrale et d’un monastère de Moniales.
- Nous partons vers un marché couvert pour acheter jamón, queso 🧀, pan, frutas, etc. et retour à l’appartement de Julian. Repas dehors sur la terrasse.
Vers
- 18h, nous retournons vers la Cathédrale : on a trouvé un raccourci.
– RV avec les deux nouvelles : Dominique et Martine, de Carcassonne, qui sont venues en caminonette Mercedes. Arrivent Nely, son mari et 2 autres pèlerins : un français et un américain de New York.
– Nous participons à la messe… avec une bénédiction spéciale du prêtre qui signe nos credenciales.
– Nely nous emmène dans un bar à tapas. Super dernier moment du jour. Retour à l’appartement dans la nuit.
3ème jour : Mardi 8 avril 2025 : Alméria-Benahalux-SantaFe
Lever tôt au joli appartement d’Almeria. Préparatifs, puis desayuno consistant dans un bar, en bas de l’immeuble.
– nous partons tous les quatre, Dominique, Yves, Véronique et moi, rejoindre les deux autres à Benahadux.
Arrivé là-bas, je prends la voiture que j’emmène à Rioja. Puis je vais à pied à la rencontre des 5 marcheurs.
- Depuis Rioja, chacun son tour prend la voiture, pendant que les autres marchent. Orangers, belles villas, petite route sympa.
à Santa Fe, nous allons manger au restaurant quelques tapas. Puis nous retrouvons Eliana qui se charge de nous installer dans un tout nouveau gîte.
Siestes, puis le soir nous grignotons dans le nouvel hébergement. Première journée tout le monde semble bien content.
4ème jour : Mercredi 9 avril 2025 : SantaFe-Alboloduy
Lever tôt. Petit déjeuner rapide et départ 7h dans le noir.
J’accompagne tout le monde dans la première montée, puis je vais chercher la voiture. Je pars rejoindre le croisement avec la grande descente et je pars à leur rencontre.
Nous nous retrouvons pour grignoter ensemble. Je laisse la voiture à Véro, qui va nous attendre à Alhabia.
Grande descente difficile, puis montée et nouvelle descente vers Alhabia. Véronique est venue à notre rencontre.
À Alhabia, nous nous arrêtons au café pour boire un pot. Ensuite, Dominique André prend la voiture jusqu’à Santa-Cruz. Nous autres, nous marchons sous une grande chaleur le long du Rio. À Santa Cruz, nous mangeons tous ensemble.
J’accompagne ensuite Dominique jusqu’à Alboloduy. Nous allons à la mairie où nous n’arrivons pas à rencontrer la alcadesa, Sonia. À l’accueil des pèlerins de l’association, Lola la permanente bénévole se débrouille pour nous faire rencontrer la charmante maire.
Celle-ci nous emmène à une auberge qui domine toute la ville. C’est splendide. Un employé de la mairie transporte nos bagages. C’est un gîte dortoir comme on en voit souvent sur le Camino.
Arrivent les quatre autres. Nous leur faisons signe depuis en haut.
Sonia nous fait une longue explication sur l’histoire d’Alboloduy, malgré la fatigue des quatre derniers : ils ont marché le long du Rio sous la canicule.Le soir nous redescendons en ville pour aller manger dans un restaurant à 20h. La cuisinière n’arrive qu’à 20h30. Elle nous fait une série de petits plats avec beaucoup de viande, de pommes de terre et quelques légumes.
– la soirée en haut du village est belle.
5ème jour : Jeudi 10 avril 2025 : Alboloduy-Nacimiento
Nous nous levons tôt. L’employé de la mairie arrive vers 7h30 pour emmener les bagages en bas. Nous descendons et nous allons manger avec Lola dans l’auberge des pèlerins. Très bon moment tous ensemble. Nous bavardons avec deux pèlerines, Dolorès et …, de Lyon.
Ensuite c’est le départ : Domino, qui a une grosse ampoule au bon pied, prend la voiture. Nous autres, nous montons par la route pour éviter le canyon.
Nous continuons ensemble jusqu’au début du joli plateau. Arrêt pour manger tous ensemble.
J’accompagne ensuite les quatre marcheurs (sauf Dominique) jusqu’en haut de la grande descente vers le rio.
Domino et moi, nous partons directement à Nacimiento en voiture. Arrivés au bar restaurant, la clé de l’hébergement nous est donné. Nous installons les bagages en attendant tout le monde.
Ce sont les retrouvailles. Un super repas nous attend au restaurant. Beaucoup de rires ensemble. Santiago nous rejoint.
Nouveau très bon repas le soir dans le bar restaurant qui est en principe fermé. En allemand, Didier, nous a rejoint.
Encore une magnifique journée.
6ème jour : Vendredi 11 avril 2025 : Nacimiento-Abla
Journée loufoque 🤡
Labyrinthe en voiture pour essayer de sortir de Nacimiento ! Et essayer de longer le rio ! ⬆️↗️🚗⬇️↘️⬆️🚗⤵️↩️
Puis la voiture est égarée dans les rios, à travers des chemins défoncés : on est prêt pour le Paris-Dakar. On se perd après Doña Maria, on se croise sans se voir (je suis parti à la rencontre des autres par le rio, tandis qu’ils bifurquaient vers Doña María).
Belles vues embrumées sur la Sierra Nevada, ses sommets à plus de 2500 m, et les neiges.
– Martine perd ses bâtons : nous faisons demi-tour, Domino, Martine et moi, pour les retrouver : résultat nul
Retrouvailles après Ocaña.… Beaucoup d’eau dans le rio …
Nos éclopés vont mieux 💃🏽💃🏽. Derniers kilomètres sur la carretera.
Arrivée fraîche à l’hôtel réservé. Sommes assez déçus. Rien pour le linge, aucun lieu commun… Nous allons quand même pas trop mal manger. Et dodo rapide.
7ème jour : Samedi 12 avril 2025 : Abla-Hueneja
Temps pourri le matin. Petit déjeuner à l’hôtel et départ dans le brouillard.
J’accompagne tout le monde en voiture jusqu’au chemin dans le rio. Domino monte avec moi, nous accompagnons les 4 autres, jusqu’à une impossibilité de traverser le rio. Les prothèses électroniques non plus.
Domino et moi, nous allons jusqu’à Fiñana
Difficile de traverser à nouveau le rio. Il faut faire demi-tour par des petites routes… Mais nous nous retrouvons à Fiñana.
- Domi reprend la voiture et va faire des courses. Nous 5, reprenons le chemin vers La Huertazuela qui s’avère plus facile que je l’imaginais…
🏔️ Montagnes de la Sierra Nevada à plus de 2500 m, couvertes de neige.
– Le torrent entre La Huertazuela et Hueneja a été évité (messages de Violeta, notre hôtesse du soir, pour nous prévenir du danger) : nous avons préféré passer par la carretera. Arrivées trempés… Mais c’est sympa de marcher sous la pluie.
« 🎶 I’m singing in the rain 🎶 »
😃 Et la belle récompense ! Accueil dans la grande, rustique, typique maison de Violeta. Hospitalité rêvée. Un bon poêle pour tout sécher… et un super repas préparé par Dominique. Le paradis !
8ème jour : Dimanche 13 avril 2025 : Hueneja-Alquife
La plus belle journée depuis le début, malgré le fait que le ciel soit couvert. Nous quittons avec regret la maison de …
– Tout le monde part à pied, sauf moi qui prends la voiture jusqu’à Dólar. J’accompagne tout le monde jusqu’à un moment où la voiture ne passe plus.
Je pars à Ferreira, je dépose la voiture et je vais à la rencontre des autres. Nous nous arrêtons dans un bar à l’entrée de Ferreira.
– Yves n’est pas bien. Il prend la voiture avec Véronique.
Les 4 autres, nous grimpons pour arriver au point de vue sur La Calahorra et sa forteresse. Dommage, la météo est couverte… À La Calahorra, nous croisons une procession des Rameaux.
– Nous retrouvons Véronique et Yves plus loin sur la route d’Alquife et nous mangeons tous ensemble…
Je reprends la voiture avec Yves, toujours malade. On se retrouve tous les 6 près des mines de fer.
Yves reprend la route à pied et Domino monte avec moi jusqu’à l’auberge de Manuel, Lacho.
– Nous déchargeons. Arrive une violente pluie. Je vais chercher tout le monde dans Alquife. On s’entasse dans la voiture…
– Il fait très froid. Il y a d’autres marcheurs : un japonais, 2 suisses (Florence et Rémi), un français et un ou deux autres. Nous allumons un feu, mangeons ensemble et nous nous couchons. Je suis complètement crevé… et mon moral est médiocre à cause de la pluie et du froid.
– Je lis quelques pages d’un livre que j’ai acheté sur Bach. Ça fait du bien… Je suis un peu triste de n’avoir pas participé aux fêtes des Rameaux.
9ème jour : Lundi 14 avril 2025 : Alquife-Cogollos de Guadix
Tranquillement. Manuel nous a préparé le desayuno. Je discute avec Florence, une Suissesse de Lausanne.
– Tous les cinq partent, pendant que moi je prends la voiture jusqu’après les mines de fer. Eux continuent en direction de Jerez de Marquesado, face à la Sierra Nevada sous la neige.
Les 5 marcheurs ont encore eu des difficultés avec la traversée de rios dans le ravin qui précède Jerez. Heureusement, il y a un pont…
Nous nous retrouvons à Jerez et et nous prenons un pot tous ensemble.
– Je repars avec Domi en voiture jusqu’au lac de Cogollos. Le ciel se couvre. Il fait froid et il y a un vent violent. Au col, la température est inférieure à 5 degrés. Dans la descente, une petite pluie glacée. La vue sur la Sierra est bouchée.
Domi et moi reprenons la voiture jusqu’à La Hacienda de Marquesado vers 13h30 : c’est super. Les autres arrivent à pied, frigorifiés. Nous nous retrouvons pour manger. Puis c’est la sieste.
– le soir, nous allons en voiture jusqu’à Guadix (en deux fois, avec Yves au volant). Après un petit tour en ville, nous allons manger dans un très bon restaurant.
Retour la nuit vers 20h. Nous arrivons à nous casser à 6 dans la voiture !
10ème jour : Mardi 15 avril 2025 : Cogollos de Guadix-Guadix
Journée exceptionnelle.
Moins de 4° en partant le matin. Vent glacial. En plus, le chemin qui rejoint le Camino est barré par un rio. Obligation d’un détour de plus de 2 km. Quelques jolies vues sur la Sierra.
Ça va mieux dans le ravin quelques kilomètres avant Guadix.
La voiture passe sans souci. Arrivée sur les cuevas de Guadix, petit tour sur le mirador. Il y a du ciel bleu entre les nuages !
– En voiture, c’est un casse-tête pour arriver à la Casona de la Luz, chez Gabi, où nous allons tous loger.
– Le soir, nous allons assister à un extraordinaire spectacle : une de ces nombreuses processions de la semaine sainte andalouse.
Paco, membre actif, très actif même, de l’association Mozarabe locale, est venu nous rejoindre et il nous explique quelques aspects de cette fête.
😲 Je suis impressionné par cette capacité espagnole de vivre collectivement et de fêter (ou célébrer) ensemble, enfants, ados, tout le monde, de tels événements, même si on ne partage pas les convictions religieuses. Folklore sans doute, convivialité et solidarité certainement ! On est loin de notre individualisme et « cérébralisme » français. Il me faudrait passer quelques années en Espagne pour me désintoxiquer !
11ème jour : Mercredi 16 avril 2025 : Journée de repos à Guadix
Journée de repos. Les uns et les autres vont se promener en ville, pendant que je reste à Casona de la Luz.
Nous mangeons tous ensemble à notre hébergement. Véronique et moi allons chercher Sylvie et Éric, nos voisins de Voreppe, à la station des autobus.
Vers 18h, nous retrouvons Paco devant la cathédrale. Malheureusement nous ne pouvons pas la visiter, en raison de la préparation des processions. Il nous explique quelques points de l’histoire du Mozarabe.
Nous allons boire un pot dans le café de la belle place centrale, là où nous avions mangé hier soir.Ensuite nous montons, sauf Sylvie qui est fatiguée, à Nuestra Señora de las gracias, dans les Cuevas, pour assister à une nouvelle magnifique procession. Nous l’accompagnons jusqu’au château.
Soirée paella tous ensemble chez Gabi.
12ème jour : Jeudi 17 avril 2025 : Guadix-Baños de Graena
dernier petit déjeuner chez Gaby.
Tous les cinq partent en traversant la ville, tandis que moi je pars en voiture directement à Purullena. Au passage je prends deux auto-stoppeurs marocains.
À Purullena, je pars en direction de mes compagnons, en passant par le défilé et son fameux poteau. Plaisir de marcher dans la forêt.
Je retrouve tout le monde au début de la forêt, à la fin de la montée qui arrive de Guadix.
Retrouvailles avec le plus célèbre poteau du Mozarabe
– Nous marchons jusqu’à Purullena et nous nous arrêtons dans un bar.
Domino reprend la voiture pendant que nous traversons le village, et puis nous allons jusqu’à Marchal.
Elle nous rejoint là-bas pour pique-niquer ensemble.
Derniers kilomètres toujours aussi beaux avant d’arriver à l’hôtel de Baños de Graena.
Le soir nous allons tous manger dans un excellent restaurant. Joyeuse soirée dans un restaurant bruyant et plein de vie espagnole.
13ème jour : Vendredi 18 avril 2025 : Baños de Graena-La Peza
Une fois de plus, je conduis la voiture jusqu’à Graena, puis jusqu’au départ du chemin parmi les vignes.
– Je dois faire un grand détour pour retrouver mes 5 marcheurs. Domino reprend la voiture dans la jolie descente et remontée au-dessus de La Peza.
Nous pique-niquons et faisons la sieste sous le Soleil ☀️
– Tous redescendent, tandis que je reprends le volant. Hébergement dans la cour de l’école. Nous sommes accueillis par Fermin qui semble être un apprenti hospitalero.
J’écoute la première partie de la Passion selon Saint Matthieu, de Bach, après avoir comparé des versions. Ai choisi Gardiner 1988
Repas tous ensemble. Il y a aussi dans le gîte des allemands et des espagnols.
14ème jour : Samedi 19 avril 2025 : La Peza – Tocon de Quentar
Le chemin est court aujourd’hui. Mais la météo est mauvaise.
Après le petit-déjeuner, nous partons sur la ligne de crêtes. Puis je reviens en arrière pour faire des courses à la panaderia.
– En voiture, je prends la route de Tocón, puis je pars à la rencontre des 5 autres marcheurs. Pluie, vent violent : ils l’ont eu dur !
Nous montons jusqu’au col. Domi a repris la voiture.
Je reprends la voiture pour aller jusqu’à Tocón. Paco nous attend. Je repars une nouvelle fois à la rencontre des marcheurs.
Une peregrina espagnole s’est jointe à nous : Helena.
– Il fait très froid. Après un repas rapide et des siestes, plusieurs d’entre nous descendent faire des courses à Quentar.
Grosse discussion pour savoir quel est le nom exact de cet animal croisé : Isart ? Chamois ? Chevreuil ? Dahu ?
Le soir nous terminons par un délicieux repas auprès du feu. Nous rions beaucoup.
15ème jour : Dimanche 20 avril 2025 : Tocon-Quentar
❄️ La neige. Eh oui, le jour de Pâques, le 20 avril en Andalousie. La température est de 0° 🥶 et il faut encore grimper plus haut. C’est la preuve que l’axe polaire de la Terre s’est déplacé vers l’Andalousie : décidément, plus rien ne va sur notre Planète 🙃.
– Petite route, puis grimpette à travers les bois pour retrouver le camino (Tocón est en effet à l’écart). La voiture doit faire le tour, mais c’est carrossable. Malgré le froid et la neige, c’est un beau chemin avec de jolies plongées vers le bas. Mais aucune vue sur la Sierra, naturellement.
– Après une jolie descente en zigzags, le chemin remonte jusque vers un point de vue bouché, puis continue, toujours sous la neige vers la carrière de craie où se situe le plus haut sommet du Mozarabe (1440 m). Mais nous sommes dans la brume.
3 d’entre nous redescendent en voiture, tandis que les 5 autres entament la longue descente, glissante parfois, jusqu’à Quentar. Hôtel confortable, pas cher.
Repas dans une chambre, siestes, promenades et soirée dans un restaurant de tapas.
16ème jour : Lundi 21 avril 2025 : Quentar – GRANADA
Ouf, le beau temps est revenu. Il reste 17 km jusqu’à Granada. L’une d’entre nous a de violentes douleurs du membre fantôme et préfère ne pas marcher. Nous nous séparons en deux (6+2), car la voiture ne peut pas accompagner les 6 marcheurs. La route ne croise qu’à un endroit… – Grimpette sans problème sur la rampe de 3 km et le long de l’aqueduc abandonné. Puis c’est la magnifique ligne de crêtes, avec la Sierra à gauche et d’autres montagnes à droite.
- De mon côté, je pars à pied à la rencontre des 6 autres, à partir de l’autre extrémité. C’est là que j’apprends la mort de Jorge-François (le pape). Nous nous retrouvons avant l’exceptionnelle descente vers Granada. Oliviers, cuevas, monastère Sacromonte, vue sur l’Alhambra.
– La voiture redescend par un autre côté et se perd dans les petites rues du centre ville et surtout dans celles de l’Albacin (avec notamment un passage de 1,80 m de large). – Nous dormons tous et toutes dans le monasterio San Bernardo où nous goûtons, une fois de plus, la sympathique hospitalité de la famille qui prend soin du lieu. Le monasterio est situé juste en face de l’Alhambra… 🎶 « Soirée dans Grenade » est le nom d’une pièce pour piano de Debussy, que je joue -mal-.
—- 💃🏽Oui, en effet, Granada, c’est aussi la musique et le flamenco : il existe un météore musical 🎶 de 12 pièces absolument géniales d’Albeniz nommé « Iberia » dans lequel sont évoqués de nombreux quartiers de Granada : œuvre d’une virtuosité étourdissante ! À écouter dans l’interprétation d’ Alicia de Larrocha-. 🤫 Et si je vous confiais que l’un des moteurs qui m’a poussé vers le désir de découvrir le Mozarabe, c’est cette œuvre d’Albeniz, me croiriez-vous ?…
17ème jour : Mardi 22 avril 2025 : JOURNÉE à GRANADA
quatre d’entre nous sont montés visiter l’Alhambra
Véronique et moi, nous allons boire un pot avec Sylvie et Éric, en centre-ville. Ils repartent vers Malaga.
– Nous faisons un peu de shopping dans la ville de Granada. Et nous nous arrêtons pour boire un thé dans une jolie maison, avec un un patio en bois.
Puis nous nous retrouvons les 6 autres, dans un super restaurant, Bongo. Le serveur, d’origine marocaine, est super sympa. Nous rions beaucoup tous ensemble.
– Dominique et Martine nous quittent à leur tour en fin d’après-midi.
Petit blues du soir.
– vers 21h30, Véronique et moi, nous sommes invités à une petite cérémonie de bénédiction des pèlerins à l’intérieur du monastère. Nous découvrons des merveilles.
18ème jour : Mercredi 23 avril 2025 : Retour
C’est le retour.
Nous prenons un petit déjeuner, les quatre restants (Yves, Dominique, Véronique et moi) dans le même petit bar d’hier, avec son patio en bois.
– Puis c’est le départ en voiture jusqu’à Malaga. Belle route, mais tours et détours pour se repérer dans la grande ville. Nous nettoyons la voiture et nous la retournons à l’agence de location.
– navette, retrouvailles avec Sylvie et Éric, queue pour l’enregistrement. Derniers adieux avec Dominique Gorse qui part de son côté vers Nice.
Avion entre Malaga et Lyon sur Volotea. Je suis près du hublot. Il pleut à Lyon.
– Bus jusqu’à Grenoble. Nous ramenons Sylvie et Éric à Saint-Égrève, malgré des problèmes de démarrage de la voiture.
Et gros dodo.