Essai de philosophie de l’esprit (PE0-introduction)

Pourquoi une telle série d’articles ?

Ces derniers temps, je raconte souvent à des proches que 80% de la théologie chrétienne est à jeter à la poubelle. Il s’agit d’un chiffre arbitraire et sans doute exagéré, disons que 79% serait plus proche de la réalité tandis que 78% s’en éloigne. Aujourd’hui dans les églises, on essaie de recycler le contenu des poubelles. C’est dans l’air du temps.

Considérons une analogie cosmologique, celle des trous noirs, l’énergie et de la matière sombres de l’Univers qui manquent pour une théorie globale de l’Univers.  L’analogie cosmologique n’est pas si arbitraire qu’elle n’en paraît. L’observation de l’Univers fut une des premières sources des formes des expressions religieuses : le ciel impose le respect et un double sentiment : le tremblement de l’être face à l’immensité imposante de la nature, des astres et des étoiles, sentiment de proportion si l’on veut ; et l’émerveillement devant la beauté apparente et ineffable et la complexité du réel. Les anciens y ont pressenti, voire y ont lu la présence de ce qu’on appela plus tard le divin et l’action de mondes surnaturels. Les mots trahissent, puisqu’on parle encore, même aujourd’hui dans le credo de la religion chrétienne, du ciel et de la terre, alors que cela n’a plus aucune signification cosmologique. Nous savons depuis Galilée et Newton que la Terre est dans le ciel et qu’on retrouve la même matière et la même énergie partout. Il existe d’autres sources de l’expression religieuse, naturellement : par exemple l’interrogation existentielle face à la condition humaine et face à la mort ; ou autre exemple le sentiment d’injustice des situations naturelles et sociales ; ou encore la canalisation de la violence au cœur des communautés.

Reprenons l’analogie cosmologique. Les trous noirs sont en des lieux singuliers où s’engouffrent toute information et toute énergie, de telle sorte qu’on ne sait pas ce qu’elles deviennent. L’origine des trous noirs se situe dans la théorie de la Relativité Générale qui lie la gravitation à la courbure d’espace-temps. La gravitation n’est pas due à des forces à distance dans un espace infini et un temps absolu, mais elle se comporte comme les courbures et les creux d’une surface, sauf qu’elle est décrite à quatre dimensions. En gros par analogie, tels des objets posés sur une toile en déforment la superficie, le tissu de l’espace-temps se déforme et laisse apparaître des sortes de combes qui représentent les champs de gravitation. Le tissage de la toile, la courbure des fils si on veut, suit la trame de gravitation. Si les objets sont trop lourds, alors la toile se déchire et les fils qui la tissent -champs de gravitation- tombent verticalement. Ce sont les trous noirs. Il vaut mieux ne pas tomber dedans, à quatre dimensions, j’entends : on serait à la fois ratatiné dans le sens orthogonal du mouvement et étiré à l’infini dans le sens du mouvement, alourdi à l’infini, brûlé par des énergies considérables et autres charmantes surprises morphologiques. Peut-être les œuvres verticales du sculpteur Giacometti en donne-t-il une première idée ? Des théories descriptives et explicatives de la disparition des ondes et de la matière sont proposées, mais elles ne sont pas testables directement.

L’analogie cosmologique est incomplète. En voici une seconde : la cosmologie actuelle est obligée de postuler l’existence de matière sombre et d’énergie sombre pour rendre compte de diverses observations bizarres dont l’origine et la structure nous sont actuellement inconnues. La matière sombre est un concept générique qui pourrait rendre compte du mouvement des galaxies et des amas de galaxies, lequel n’est pas suffisamment expliqué par la seule dynamique de gravitation de la matière connue. L’énergie sombre, elle, cherche à rendre compte de la vitesse accélérée de l’expansion de l’Univers qui ne s’explique pas par la seule énergie connue, ni par l’impulsion initiale donnée par le Big Bang. On remarquera que ces hypothèses cosmologiques interrogent un ensemble de phénomènes non encore perçues, mais que l’on découvrira expérimentalement dans l’avenir.

Bref, l’article présent en restera à ces deux images de base : trous noirs, énergie-matière sombre. L’une représente les lieux que l’expérimentation scientifique ne peuvent tester. On les appelle aussi des singularités, concept précieux, c’est-à-dire des lieux qui échappent par nature à la régularité scientifique. Il existe d’autres singularités en sciences et notamment en cosmologie : c’est le cas du Big Bang ou même simplement le cas de l’Univers comme totalité. Dans le cadre actuel, c’est aussi le cas du phénomène global de la biosphère terrestre et de la noosphère humaine. Les sciences ne traitent que du général et du répétitif. On peut toujours s’amuser à des spéculations gratuites et hypothétiques sur les singularités ; comme elles ne sont pas physiquement répétitives et donc vérifiables, elles échapperont toujours à une modélisation réellement explicative et descriptive. On ne peut pas imaginer reproduire la Biosphère en laboratoire, encore moins l’Univers. Quant aux trous noirs, peut-être y arrivera-t-on, mais ce qui se passe dedans au-delà d’un seuil restera inaccessible.

L’autre image, celle de l’énergie sombre et de la matière sombre, évoque des domaines que l’on ne connaît pas encore, mais que tôt ou tard on découvrira. Ici, il ne s’agit pas de domaines scientifiques ou intellectuels impossibles a priori à expliquer, mais d’un simple retard théorique. Un jour, les scientifiques proposeront des explications plausibles et cohérentes des phénomènes qu’on appelle matière sombre ou énergie sombre. Bref, elle représente la dimension dynamique de l’aventure humaine scientifique.

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Sommes-nous si loin des spéculations théologiques ? La théologie chrétienne est bavarde. Trop bavarde même. Cela n’est pas interdit, tout le monde a le droit ou devrait avoir le droit de s’exprimer. Mais vu le nombre de sottises que j’ai pu entendre jusque dans les plus hautes instances, parfois on comprend les ermites et les moines. Respirer le silence. Au lieu d’écouter les signes apportées par les progrès des sciences, des philosophies, des arts et des interrogations sociétales, nombre de praticiens théologiques affirment sous la forme des vérités dogmatiques rassurantes, ou cherchent dans des écrits d’un autre temps qui reposent sur des vieilleries mythologiques et gnostiques, des notions pour boucher les trous des incohérences, des interpellations ou des incompréhensions contemporaines.

Dans le cas des « trous noirs » théologiques, c’est-à-dire des singularités et des domaines de l’existence que nous ne pouvons saisir a priori parce qu’ils échappent à l’entendement, on peut accorder le crédit aux théologiens d’offrir des mots pour situer les potentialités et les limites de la raison. Théologie apophatique (1) ou théologie mystique, par exemple : dire ce que le divin n’est pas, proposer des alternatives existentielles ou politiques pour expérimenter ce divin. Dans le cas des « énergie et matière sombres » théologiques, notons la tendance à glisser Dieu dans les trous de la connaissance ou à se servir du concept Dieu pour rassurer les angoisses : le « Dieu bouche-trou » ! Une catastrophe intellectuelle et morale ! On barbouille des couches de Dieu et de surnaturel sur un mur, dont les fissures et les irrégularités dérangent, au milieu d’un fatras de sottises anthropologiques ou de symboles obsolètes, alors que tôt ou tard, il est certain que les sciences fourniront des descriptions, voire des explications rationnelles et univoques, sur ces lieux inconnus. Il y a deux sortes d’obscurités : celles qui relèvent de la nuit qui plonge dans l’infini de l’être et de la connaissance, celles qui sont dues à un mauvais ou à un manque d’éclairage.

L’analogie des trous noirs et celle de la face sombre de l’univers -appliquées à la  théologie- ne sont donc pas seulement à saisir sous l’angle péjoratif, mais aussi comme une révélation des champs encore à explorer. L’analogie, dans le second cas, signifie que les spéculations rapides autour des lieux inconnus de la pensée, qu’on puisse les mettre à l’épreuve des faits ou non, restent hasardeuses. Elles ne sont pas interdites à titre d’hypothèses. Elles deviennent dangereuses quand elles se prennent pour des vérités ou pour la Vérité, puis pour manipuler les consciences des femmes et des hommes fragiles ou crédules. Pour éviter d’alourdir la réflexion, je me contenterai d’évoquer les « gouffres », même si ceux-ci désignent deux domaines différents : les domaines inconnus que l’on finira par connaître et comprendre et les lieux qu’il est impossible d’atteindre, d’un point de vue épistémologique (du côté de la connaissance) et d’un point de vue ontologique (du côté de l’être).

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Je signale souvent dans mes écrits le mot de Whitehead « Il n’y a pas de raccourci vers la vérité », mot qui dans la bouche du philosophe anglais signifie que la réalité est d’une complexité et d’une vitalité au-delà des théories scientifiques qui se croient achevées (il en existe, certes) et des affirmations dogmatiques qui se comportent comme des totalitarismes (2). Une formulation qui se prétend vraie doit être capable d’être testée, puis validée sur tous les plans d’existence. Elle ne peut se contenter d’une validation sur l’unique plan d’une logique formelle ou scientifique, ou encore sur celui d’une rationalité fondée sur une confiance à un événement fondateur crédible, et a fortiori sur une simple cohérence globale racoleuse. Bref la réalité dépasse la fiction. Elle la dépasse toujours puisque la vérité au sens traditionnel du terme (c’est-à-dire l’adéquation entre les représentations et le réel) devrait exiger d’être aussi complexe que le réel. Dans l’essai présent, je proposerai un autre sens du mot « vérité ». La réalité exige aussi d’être décomposée en fonction des perspectives déterminées par la position épistémologique et méthodologique où nous nous situons. Nous ne sommes pas en dehors du réel comme si notre esprit décrivait le monde tel un aigle qui plane sur une vallée, mais nous sommes plongés dans le réel, comme des dauphins qui barbotent et sillonnent les mers.

Réciproquement, une affirmation de vérité théologique ou philosophique ne sera valide que si elle traverse courageusement le champ du logique et du scientifique, notamment le champ des sciences naturelles. Les théologiens se contentent un peu trop de dialoguer ou de récupérer quelques résultats des sciences humaines. OK, c’est très bien. J’en dirai un mot. Malheureusement bien des raisonnements des sciences humaines fonctionnent à l’intérieur de catégories qui ne sont plus celles des sciences de la nature. Lesquelles sciences de la nature sont en général ignorées, voire méprisées par les philosophes et théologiens, par inculture parfois, par suffisance souvent. Je parle d’expérience. Une affirmation théologique sera également valide si elle accepte que derrière les affirmations, il y a des champs épistémologiques et méthodologiques à respecter, dans la mesure où les méthodes sont solidement établies et non utilisées pour cacher une misère de contenu. J’ai malheureusement entendu de mes oreilles des apprentis sorciers théologiens qui se servent de l’argument méthodologique pour cacher les questions embarrassantes qu’on pouvait leur poser.

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Pour répondre à la question initiale « pourquoi une telle série d’articles », le mieux est de mesurer les effets d’une expérience personnelle. Tout d’abord, il faut savoir que je ne suis pas un novice en l’affaire : sept années de théologie catholique, dont cinq à temps plein, payées de ma poche et de mon énergie vitale, ce qui fut loin d’être le cas de la situation de la plupart de mes compagnes et compagnons d’études. Il faut ajouter à ce temps plusieurs années consacrées à la philosophie, et d’autres engagées dans une thèse de doctorat transversale (philosophie-théologie), malheureusement inachevée pour des raisons d’organisation familiale et d’exigence professionnelle. Elle fut peu comprise, en tant que démarche interdisciplinaire, par ceux qu’on appelle des directeurs de thèse (j’en ai eu quatre successifs qui se sont tous avoués incompétents). Et comme me l’a expliqué un professeur de philosophie un jour : En fait, deux années de théologie auraient amplement suffi (deux années magnifiques vécues à Fribourg, dans un cadre spirituel intense et en lien avec des personnes venues du Monde entier).

Deuxième raison plus sociale et plus proche de la préoccupation de ces pages : les ouvrages de théologie (une science de Dieu, étymologiquement parlant) n’intéressent que les personnes concernées, à savoir le clergé, les religieux et les croyants intellectuellement sensibilisés. Ils n’ont aucune place dans les médias et les préoccupations des quidams, comme si la question de Dieu, ou de l’Absolu, ne relevait que d’une question privée, liée à une confession personnelle ou une appartenance à une communauté religieuse particulière. Or la question de Dieu n’appartient ni aux religions (il y a des religions sans Dieu), ni aux églises (il y a des églises sans religion, et des religions sans église, et des personnes qui ne sont ni religieuses, ni ecclésiales), ni aux clercs (il y a des églises sans clergé), ni aux spécialistes. Elle ne se réduit pas à une affaire de foi, comme le démontre toute l’histoire de la pensée. Elle appartient à tous, sans aucune nécessité d’un intermédiaire religieux. L’homme, comme l’écrivait le vieil adage scolastique, est capable naturellement d’infini, même le berger dans la montagne, même la prostituée dans un bordel.

Troisième raison : il y a une confusion, dans les médias, dans de nombreux discours internes au monde chrétien et de certaines grandes religions, entre théologie et spiritualité. Or, la théologie se prétend une science -et il faudra dire un mot de ce qu’on appelle « science » -ou lire ce que j’écris dans la série philosophique, sur ce blog-, et elle exige un minimum de bagage intellectuel. L’expérience spirituelle appartient, elle, à tous et déborde la théologie. Or souvent les deux mots sont confondus, même s’il existe une théologie spirituelle. Il faudra donc déterminer ce qui est appelé « spiritualité » ou « expérience spirituelle ». Mais je n’indiquerai que quelques pistes, analogiques de préférence, en raison de la polysémie de ces expressions et de la créativité qui doit être première par rapport aux principes et aux définitions. Les mots bougent, comme tout le reste de la vie.

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Venons-en aux gouffres de la théologie catholique et plus largement chrétienne. Je les ai perçus dès le début de ma formation, il y a 35 ans. Ayant vécu dans un milieu très marqué par une double mentalité, ingénieurs et scientifiques d’une part, cathos classiques anti-intellectuels d’autre part, parfois les deux ensemble, la nécessité d’essayer de combler cet écart ne pouvait se traduire que par un approfondissement universitaire. Moi-même, j’avais suivi des études de physique fondamentale et travaillé quelque temps dans des laboratoires de recherche, puis plus tard dans de grandes entreprises industrielles. Les vides de la théologie ne m’avaient pas échappé avant même que la formation ne commence. C’est la raison pour laquelle je me suis équipé d’une armure philosophique au fur et à mesure que l’initiation progressait. La confiance accordée à des maîtres, à des professeurs, m’a fait prendre les futurs gouffres pour quelques fêlures que mon entendement borné et peu éclairé finirait par dissoudre, comme les fissures d’un métal disparaissent à la fusion.

Erreur. Plus les années se sont écoulées, plus je me suis aperçu des limites et des aveuglements de mes maîtres, et plus les fissures se sont élargies pour devenir des gouffres. Les opaques garde-fous théologiques d’un côté, les peurs de déplaire ou de regarder ces 79% d’autre part, n’ont pas empêché les appels d’air. Les garde-fous sont opaques parce que bien des discours apparemment experts cachaient des sottises et étaient prononcées pour empêcher d’écarter les palissades et de se pencher sur les abîmes. Les peurs de déplaire sont liées à deux causes : d’une part, les images culpabilisantes liées aux catastrophiques pratiques et catéchismes de nos enfances destinées à faire des petits chrétiens des enfants sages et soumis, créent des interdits psychologiques inconscients ; d’autre part, la crainte de choquer des esprits fragiles, intoxiqués par les sermons et homélies racoleurs de nombre de prédicateurs, inquiets de voir leurs ouailles s’éloigner, est comme une ancre qui empêche de partir au large. Aujourd’hui, j’ai fait sauter les garde-fous intellectuels et affectifs comme d’autres font tomber des murs et des exclusions, à Berlin, à Johannesburg ou à Washington, et j’essaie de jeter des ponts ou de construire des escaliers pour explorer ces gouffres.

Où sont-ils ces gouffres ? Le problème, c’est qu’ils sont polymorphes et fractals. Ils se situent dans les formes qu’utilisent les théologiens et ils rejaillissent sur les contenus. On situe leurs sources dans le domaine de l’histoire qui, comme tout le monde le sait, élimine les perdants ; dans ceux de la méthodologie, de l’anthropologie, du socio-politique, de l’éthique, des sciences du langage, de l’épistémologie, de la cosmologie et de la métaphysique par empreinte inconsciente de vieilleries pré-galiléennes ou pré-darwiniennes. Ils habitent tous les contenus de la théologie : la théologie fondamentale et les conditions de la foi ; la théologie dogmatique, notamment la théologie de la création, l’anthropologie théologique, la christologie, la théologie de l’Esprit, la sotériologie, l’eschatologie, la doctrine trinitaire, l’ecclésiologie (3) ; la théologie des sacrements ; l’éthique elle-même. Ils sont fractals parce qu’ils se déclinent à toutes les échelles, depuis les grandes synthèses intellectuelles jusqu’aux pratiques les plus concrètes, depuis le tonnerre du haut des hiérarchies institutionnelles jusqu’aux gazouillis des niches.

Je serais malhonnête en niant le fait que d’autres penseurs et chercheurs se soucient aussi de ces questions. Ce serait même théoriquement le rôle des théologiens. Malheureusement aujourd’hui, dans le cadre actuel du repli identitaire des religions, de plus en plus de théologiens catholiques se contentent de répéter ce que leur enjoignent les autorités institutionnelles, avec un esprit critique très mesuré et même quasi inexistant dans certains cas.

Comme il est prétentieux de prétendre explorer tous ces gouffres, je me contenterai des interrogations cosmologiques et anthropologiques qui relèvent plus de mes compétences. Il s’agit d’essais et non d’enseignement ou de doctrine. S’il y a des poubelles théologiques à recycler, il faut faire en sorte qu’elles ne soient pas recyclées dans un sens trop commercial -c’est-à-dire de multiplier les déchets théologiques pour qu’il y ait plus de recyclage, plus de stupide bavardage-. Mais avant de sonder ces abîmes, je me dois de cadrer quelques points d’ordre spirituel et me positionner personnellement. Le dauphin, même s’il peut fréquenter tous les océans, n’a pas le temps d’en goûter toutes les saveurs ou d’en avaler tous les poisons. Ce sera l’objet du prochain article.

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(1) L’apophatisme est une description qui chemine par négations : ce que je décris n’est pas ceci, n’est pas cela

(2) La distinction entre propositions scientifiques et propositions dogmatiques, qu’il appelle aussi métaphysiques, vient de Karl Popper. On peut discuter du bien fondé de l’approche du philosophe viennois et de son critère de discrimination entre les propositions, mais elle est pratique pour l’instant.

(2) Ces termes seront explicités sans approfondissement un peu plus loin.

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